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Sabtu, 08 Maret 2014

Protocol » est une nouvelle couche de protocole de communication standard et le « BPSK Narrow Band Power Line Channel for Smart Metering Applications » précise le mécanisme de contrôle du rése


Interopérabilité des réseaux de vélopartage[modifier | modifier le code]
L'interopérabilité des systèmes d'attache aux bornettes est l'un des facteurs cruciaux3,4 pour l'extension aux banlieues des réseaux commerciaux de vélopartage comme Vélib'® à Paris, vélo'v® à Lyon et Villeurbanne ou VélôToulouse® à Toulouse.
Interopérabilité électrique[modifier | modifier le code]
Les piles et piles rechargeables ont dû être standardisées 5.
L'électricité distribuée sur les réseaux 230 volts doit rester dans une certaine plage de tension (220 à 240 V) et de fréquence (50 Hz), de manière à ce que les équipements puissent être indifféremment branchés sur différents points du réseau, dans différents États.
Pour accompagner le développement des Smart Grids, deux nouvelles normes d'interopérabilité entre les appareils et terminaux et les réseaux électriques intelligents ont été lancées en 2012 par l'ESTI (European Telecommunications Standards Institute) et l’Esna (Energy Services Network Association), pour la zone de l'Union européenne6. L’« Open Smart Grid Protocol » est une nouvelle couche de protocole de communication standard et le « BPSK Narrow Band Power Line Channel for Smart Metering Applications » précise le mécanisme de contrôle du réseau à travers une ligne électrique haute performance à bande étroite.
Interopérabilité comme instrument de puissance et de domination du marché[modifier | modifier le code]

Limiter l'interopérabilité[modifier | modifier le code]
L'interopérabilité tend à être conçue comme un sujet d'experts, et ses implications dans la vie courante sont quelquefois sous-estimées.
Le cas de Microsoft par rapport à la Commission européenne est révélateur de la façon dont l'interopérabilité concerne des questions importantes sur les relations de puissance. En 2004, la Commission européenne trouva que Microsoft avait abusé de sa position dominante en restreignant délibérément l'interopérabilité entre les micro-ordinateurs Windows et les serveurs de groupes de travail non-Microsoft. En agissant ainsi, Microsoft était capable d'acquérir une position dominante sur le marché pour les systèmes d'exploitation de serveurs de groupes de travail, le cœur de ses réseaux groupe de TIC. On a demandé à Microsoft de publier de la documentation d'interface précise, ce qui devait permettre à des vendeurs rivaux d'entrer en compétition sur un pied d'égalité (« le remède d'interopérabilité »). En juin 2005 la Commission teste sur le marché une nouvelle proposition de Microsoft dans ce sens, comme elle avait rejeté de précédentes propositions comme étant insuffisantes.
Les efforts récents de Microsoft autour de l'interopérabilité pourraient indiquer un changement dans leur approche et leur niveau d'engagement vers l'interopérabilité. Ces efforts incluent la migration des formats de fichiers Microsoft Office ve

On peut en quelque sorte affirmer que, du point de vue de l'ingénierie des systèmes, l'interopérabilité informatique pilote l'interopérabilité globale.


Enfin, l'interopérabilité peut renvoyer aux problématiques de la liberté (liberté d'utilisation, liberté de choix...), comme le montre l'USA PATRIOT Act.
Interopérabilité en informatique[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Interopérabilité en informatique.
L'interopérabilité est une notion absolument cruciale pour les réseaux de télécommunication mondiaux comme le téléphone et l'Internet. Par essence, des matériels divers et variés sont mis en œuvre dans ces réseaux hétérogènes aux côtés d'une panoplie encore plus vaste de matériels informatiques et de logiciels.
Mais elle est cruciale aussi et surtout pour l'ensemble de l'économie, car aujourd'hui, dans presque tous les domaines d'activité, dans l'industrie et dans les services, et même en agriculture, des systèmes informatiques gèrent des données, pilotent des systèmes de contrôle, des systèmes de gestion, et sont interconnectés d'une entreprise à l'autre par des réseaux informatiques (internet, extranet, messageries électroniques, ...).
On peut en quelque sorte affirmer que, du point de vue de l'ingénierie des systèmes, l'interopérabilité informatique pilote l'interopérabilité globale.
Au niveau des gouvernements occidentaux, notons un exercice annuel, le Coalition Warrior Interoperability Demonstration visant à vérifier celles-ci et apporté des solutions industriels aux difficultés rencontrés.
Interopérabilité des réseaux physiques[modifier | modifier le code]

Interopérabilité ferroviaire[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Interopérabilité ferroviaire.
Dans l'Union européenne, l'interopérabilité ferroviaire concerne la conception, la construction, la mise en service, le réaménagement, le renouvellement, l'exploitation et la maintenance des éléments des systèmes ferroviaires ainsi que les qualifications professionnelles et les conditions de santé et de sécurité du personnel qui contribue à son exploitation.
Dans l'Union européenne, (dans le domaine ferroviaire), l'interopérabilité est définie comme « l'aptitude du système ferroviaire transeuropéen conventionnel à permettre la circulation sûre et sans rupture de trains en accomplissant les performances requises pour ces lignes. Cette aptitude repose sur l'ensemble des conditions réglementaires, techniques et opérationnelles qui doivent être remplies pour satisfaire aux exigences essentielles ; » 2
Interopérabilité routière[modifier | modifier le code]
Dans une certaine mesure, on peut considérer que le code de la route, les gabarits des ponts et des routes correspondent à une certaine forme d'interopérabilité, ainsi que la standardisation des pneumatiques, des équipements dynamiques routiers et les systèmes de paiement électronique sur les autoroutes.

L'interopérabilité a évidemment de larges implications techniques, mais pas uniquement. Elle peut avoir une incidence sur l'organisation d'une entreprise ou d'un organisme, et pose de

out des problèmes de compatibilité, entre les normes cette fois. La solution la plus courante mais imparfaite consiste à utiliser des normes reposant sur des formats ouverts, et par là rapidement évolutifs. Le domaine de l'informatique illustre plus particulièrement ce point.
L'interopérabilité n'est pas par elle-même un élément concret ou un critère défini. On peut déterminer dans quelle mesure des systèmes sont interopérables en jugeant de leur respect de la norme qui a donné lieu à une interopérabilité. On comprend alors qu'on puisse parler d'interopérabilité partielle : si un logiciel, par exemple, ne respecte qu'une partie d'une norme, il ne pourra peut-être pas dialoguer correctement avec un autre programme, voire pas du tout. Dans l'absolu, seul le respect strict d'une norme donnée conduit à une interopérabilité réelle, mais cette situation est assez éloignée de la réalité.
Des enjeux cruciaux[modifier | modifier le code]
L'interopérabilité a évidemment de larges implications techniques, mais pas uniquement. Elle peut avoir une incidence sur l'organisation d'une entreprise ou d'un organisme, et pose des questions essentielles. Celles-ci ont trait par exemple aux données et à leur échange :
Est-ce que les gens (concepteurs de systèmes ou utilisateurs finaux) souhaitent partager leurs données ?
Le cas échéant, dans quelle mesure et de quelle façon ?
Comment organiser une norme pour que l'interopérabilité visée soit à la fois la plus facilement accessible et la plus viable possible ?
Comment faire pour qu'elle soit adaptée à des besoins complexes et parfois contradictoires ?
La standardisation constitue un élément de réponse pour certaines de ces questions.
Économiquement, l'interopérabilité a des conséquences méconnues du grand public et parfois sous-estimées par les acteurs industriels. Si les produits de plusieurs concurrents ne sont pas interopérables (à cause de brevets exclusifs, de secrets de fabrications ou pour toute autre raison volontaire ou non), on peut aboutir à une situation monopolistique ou bien à un marché fragmenté.
Voir infra.
Une telle configuration économique se fait au détriment du consommateur. L'informatique, notamment, présente les différents cas : la position de Microsoft par rapport à ses concurrents sur le marché des systèmes d'exploitation illustre bien le premier. Les gouvernements peuvent essayer d'encourager les constructeurs à engager une démarche d'interopérabilité concertée, mais cela se heurte concrètement à des intérêts commerciaux déjà en place. De telles démarches peuvent aussi conduire à des accords semi-ouverts, semi-fermés, c'est-à-dire excluant un ensemble d'acteurs économique au profit d'un petit groupe.
Voir infra.